« Un récit étonnant, terrible de lucidité pour un enfant qui voit le père se consumer comme la flamme du chalumeau qui sert à la soudure […] Un récit troublant, tout simple, vrai et émouvant. » Yvon Paré, Littérature du Québec, 27 mars 2024.
« Avec une grande économie de mots, Danny Émond sait rendre palpables la léthargie émotionnelle et la fugacité de la vie. » Marie-Claude Rioux, Hop sous la couette, 24 mars 2024.
« C’est doux et beau, cruel et déchirant. » Les Libraires, numéro 141, 5 férvrier 2024.
« C’est un roman déstabilisant où se côtoient un grand mélange d’émotions, tant pour le personnage que pour le lecteur. » Tania Plante, @petitelecturedudimanche.
« Quelle oeuvre bouleversante ! Paulo est un homme de peu de mots, qui, on le comprend, a appris à garder ses émotions pour lui. Chaque nouvel objet empaquetté nous apprend une nouvelle parcelle de sa vie, de son lien avec son fils. » Megane Therrien, @meg.bouquine.
« Tristes et douloureuses, les pensées du fils nous égratignent le coeur. Un parcours de vie entrecoupé de malaises, de blessures, de non-dits… Fermer les yeux ne suffit pas est un court roman bouleversant, qui ne laissera personne indifférent. » Anne-Marie Bahl, @cellequilit.
« Lecture bouleversante face au deuil. » Nadyne Labelle, @lespetitsbonheursdenady.
« C’est un livre qui m’a particulièrement touché. L’auteur nous plonge en plein coeur d’une relation complexe et difficile à décortiquer. » Audrey Généreux, @pourcoeurlitteraire.
« Une agréable surprise que ce petit roman, rempli d’émotions ! » Elyse Marchand, @elyse_qui_lit.
« C’est une courte histoire coup de poing. […] J’ai dévoré ce livre en moins de deux heures. » Maryse Labbé, @cultiveteslectures.
« C’était fluide et doux, c’était un huis clos dans l’intimité de l’auteur qui nous permet de rentrer dans une relation propre à lui. » Frédéricke Dorais, @fredobookclub.
« Émouvant, Fermer les yeux ne suffit pas nous enjoint à assumer nos vulnérabilités et nous rappelle la nécessité de toucher, d’étreindre ce qu’on aime, de leur dire qu’on les aime. Car les opportunités de le faire sont limitées. » Yannick Ollassa, @la_bouquineuse_boulimique.
