« On est dans la quotidienneté, près du journal de bord, [dans une] autobiographie brute dans la lignée de Desbiens, mais plus… format « charge mentale ». Elle glisse vraiment bien dans l’autodérision. Elle met des éléments de la culture populaire dans sa poésie. C’est puissant comme langue. » Simon Boulerice, émission Cette année-là.
« La voix poétique d’Émélie Provost est évocatrice et maîtrisée. Dans ses meilleurs moments, Les beaux jours du rouleau compresseur nous fait sentir la complexité des sentiments qui existent sous le voile de l’ordinaire. La figure de la mère, notamment, qu’on ne devine qu’à travers ses tâches ménagères, pique notre curiosité : on en prendrait plus. » Sarah Lamarche, La Recrue.
« Quand j’ouvre le recueil d’Émélie Provost, je me sens dans la réalité, dans ce qu’il y a de plus concret dans l’existence. » Nathasha Pemba, Sanctuaire de la culture.
« Les beaux jours du rouleau compresseur m’a fait découvrir la poésie sous un angle que je ne connaissais pas. On ne peut que le dévorer en un instant. Le verbe de l’auteure est absolument géniale. Pleins d’images, de souvenirs et de sentiments se bousculent dans notre tête dans la réalité du quotidien qu’elle nous livre. » Mélanie Jolin, Goodreads.
En 2019, Émélie Provost a participé au Festival international de poésie de Trois-Rivières, au Salon international du livre de Québec ainsi qu’au Salon du livre de Montréal.