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Parution: 10/10/2018

Pages: 60

ISBN: 978-2-924936-02-3

Prix:

14.95$

Code barre : 9782924936023 14.95$

Sébastien Émond

# monâme

#monâme met en scène le parcours identitaire queer d’un·e adolescent·e hanté·e par un imaginaire apocalyptique. Une fascination marquée pour l’esthétique « 16+ […] hardcore violence and sexual content » ponctue la première partie du recueil, où le.a poète revisite ses années d’écolier.ère dans une langue épurée. La mort spectaculaire, télévisuelle, gore, constitue une sorte de tampon entre l’enfance et l’âge de la maturité. Cette transformation advient lorsqu’un décès discret donne progressivement naissance à une seconde voix, à laquelle s’adresse le·a poète pour tenter de faire émerger du sens de la douleur et du monde.

Sébastien Émond est un membre du collectif RAMEN qui a pour objectif d’augmenter la visibilité de la poésie contemporaine dans la ville de Québec. #monâme est son premier recueil.

Né·e à Chibougamau en 1993, Sébastien Emond s’extirpe de son incubateur boréal pour s’établir dans la ville de Québec, où iel poursuit, d’un œil, ses études en littérature à l’Université Laval après un passage en cinéma, en rédaction professionnelle et en création littéraire. Lassé·e par les injonctions du milieu académique, iel interrompt provisoirement ses études en 2018 pour s’exiler à Umiujaq, sur les rives de la Baie d’Hudson là où il se livre depuis à l’écriture à temps plein. Depuis 2016, iel s’implique dans diverses activités littéraires de la ville de Québec en tant que poète du Collectif RAMEN. En 2018, Première Ovation lui octroie une bourse pour la création de son premier roman.

Ce que la presse en dit

« Le premier recueil de Sébastien Emond, publié à la jeune maison d’édition Hashtag, présente trois temps de la vie d’un.e adolescent.e et, incidemment, offre trois parties inégales. Touchant par moments à la forme narrative, le recueil se pose en hybride, à mi-chemin entre la poésie et le récit du parcours d’un.e adolescent.e qui apprivoise peu à peu son rapport à la mort. » Étienne Poirier, La Recrue.