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Parution: 11/03/2025

Pages: 156

ISBN: 978-2-924936-72-6

Prix:

13.99$23.95$

Meissoon Azzaria

Anesthésie générale

Ancré dans l’urbanité de Montréal et dans la poésie banale d’un parc de quartier, Anesthésie générale met en scène Hanane, une femme qui tente de se réanimer, transportant les lourdes valises de ses ancêtres. Le récit et sa protagoniste tournent autour du parc Beaubien tous les jours, parfois même la nuit. Répétitions tourmentées parmi les passants qui promènent leur chien ou disparaissent dans la grisaille. La guerre a sauté une génération, la violence s’est infiltrée dans ses veines. Le parc devient l’ancre qui la rattache à la réalité.

Anesthésie générale raconte une tentative de libération dans un monde endormi. Mêlant mémoire, rencontres et exagérations, Meissoon Azzaria livre un récit poétique singulier sur les effets de la guerre et de la violence intime.

Meissoon Azzaria est née à Québec d’un père irakien et arménien et d’une mère québécoise et britannique. Diplômée en communication et en littérature, elle a participé à la Course destination monde en 1997 et remporté le Prix Téléfilm Canada du meilleur film de la saison pour Tombe la nuit. Au cinéma, elle a incarné Wedad dans le long-métrage Standstill de Majdi El-Omari, une femme palestinienne qui refait sa vie à Montréal après l’assassinat de sa fille en Palestine. Anesthésie générale est son premier roman.

Ce que la presse en dit

« Il saura plaire aux plus fins des lecteurs. Un livre à découvrir ne serait-ce que pour la qualité incomparable de l’écriture de l’auteure. » Anne-Marie Bahl, @cellequilit.

« La plume douce et poétique de l’auteure nous maintient dans une atmosphère calme tout au long de ce récit intime. » Nadia, @nadia_lit_des_livres.

« Anesthésie. Générale. Tout est gelé, à l’intérieur. En fait, ça semble gelé. Mais l’anesthésie n’est pas générale. Il y a des émotions vécues, telle la mélancolie qui est omniprésente dans ce roman qui ressemble à un journal intime. » Yannick Ollassa, @la_bouquineuse_boulimique.

« Ce récit se lit comme une longue promenade dont chaque rencontre est unique. La plume poétique de l’auteure m’a charmée dès les premières lignes. » Marie-Pierre, @m.ta.lecture.

« Roman audacieux et résolument intimiste qui s’inscrit dans une tradition littéraire du questionnement existentiel, tout en y apportant une voix singulière, nourrie de migrations, de deuils et de résistances silencieuses. » Nathasha Pemba, Ou’Tam’Si Magazine.

Apparu dans « Quoi lire? Les nouveautés à se procurer [en mars] » de Kelly-Ann Neeley, Coup de pouce, 20 février.